Ils règnent sur
nos villes, sont de la même clique,
Se vautrent sur
les trônes, cela depuis des lustres.
C’est clair nos
roitelets, consanguins politiques,
Nous traitent
comme des sujets, aussi comme des rustres.
Pour aider
l’opprimé, réconforter le hère,
Ou bien que
l’on résiste, très fort sur l’autre bord
On se trouve
embarqué toujours sur une galère.
A Charenton, au
bois, on ne crie plus au loup
Mais la chasse
est ouverte, Brétillon l’a fait sienne.
L’escopette en
berne, il tire nombre de coups,
A contre-emploi
sur les péripatéticiennes.
Pour l’agité
Cambon, avoir la fibre sociale,
C’est l’exil
assuré. Aider les miséreux
Quand on est
une élue, pour lui c’est anormal.
Parmi les
communaux, lorsqu’un syndicaliste
Près de
Maisons-Alfort, montre un peu ses quenottes,
L’autocrate
Herbillon, comme à un terroriste,
Alerte ses
cerbères qui lui passent les menottes.
Tous les
traîne-misère, les férus du zizi.
Trois histoires
qui montrent, qu’ils l’ont bien contracté
Congénitalement,
le virus Sarkozy.
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